PAROLES TOURNEE GOLDMAN.
2022 Ténor Vaison
A imprimer et à surligner avec les couleurs
1. C'est dit (Goldman/Maurici/Lagarde)
2. L'envie (Goldmann / Oudot)
3. Les gens qu'on aime (Goldman/Macé/Leroy/Lagarde)
4. Puisque tu pars (Goldman/Oudot)
6. S'il suffisait d'aimer (Goldman/Oudot)
7. Veiller Tard (Goldman / Lagarde)
8. Medley Goldman (Goldman/Oudot/Lagarde)
9. Confidentiel (Goldman/Lagarde
10. Long in the road (Goldman / Lagarde)
11. Il changeait la vie (Goldman/Lagarde)
12. Il me dit que je suis belle (Brewski/Oudot)
13. Je te promets (Goldman/Oudot)
14. Né en 17 à Leidenstadt (Goldman/Lagarde)
15. Comme toi (Goldman/Lagarde)
18. J'irai où tu iras (Goldman/Benzi/Lagarde)
19. Medley Enfoirés (Bolland/Child/Poncia/Paul/Boissenot/Goldman/Lagarde)
20. Il suffira d'un signe (Goldman/Lagarde)
23. Je te donne (Goldman/Lagarde)
Codes couleurs :
Noir : tous chantent ensemble
Noir souligné : unisson (tous la même mélodie) Rouge : d'autres chantent
Rouge souligné : soliste (à confirmer !)
Bleu : notre voix chante alors de d'autres chantent différemment
Vert : Grand chœur
1. C'est dit (Goldman/Maurici/Lagarde)
Instrumental
Des chansons, des filles beaucoup de verres / et de nuits
Telles étaient nos heures telles étaient nos vies
Futiles / adolescents, tout nous était permis
Rois de pacotille, princes démunis On n'est riche que de ses amis C'est dit
Le temps des tempêtes arrive avant qu'on l'ait prédit
Amours impossibles, défaites, ironie
Quand tout s'abîme, quand même nos rêves fuient
Il ne reste qu'une île, un port, un parti
On n'est riche que de ses amis
C'est dit
Instrumental
Mais quand tout s'allume quand tout enfin nous sourit
Gloire, fête, symphonie, bravo, bijoux / frénésie Quand on me saoule d'imposture ou d'amnésie Honneur / et fortune qu'en sais-je aujourd'hui ?
Je ne suis riche que de mes amis ///
C'est dit puis la la la
NB : ténor 2 = la la la au lieu de C'/est dit pour le démarrage
Honneur et fortune qu'en sais-je aujourd'hui ? Je ne suis riche que de mes amis
Mes amis
C'est dit
2. L'envie (Goldmann / Oudot)
Attention aux i = bouche verticale
Qu'on me donne l'obscurité puis la lumière
Qu'on me donne la faim la soif puis un festin
Qu'on m'enlève ce qui est vain et secondaire
Mmh
Que je retrouve le prix de la vie, enfin !
Qu'on me donne la peine pour que j'aime dormir
mmh
Qu'on me donne le froid pour que j'aime la flamme
J'ai / me / la flamme
Pour que j'aime ma terre qu'on me donne l'exil
Pour que j'aime ma terre
Et qu'on m'enferme un an pour rêver à des femmes ! (2 voix ténors)
On m'a trop donné bien avant l'envie
J'ai oublié les rêves et les "merci"
Toutes ces choses qui avaient un prix
Qui font l'envie de vivre et le désir
Et le plaisir aussi / qu'on me donne l'envie !
L'envie d'avoir envie ! Qu'on rallume ma vie !
Qu'on me donne la haine pour que j'aime l'amour
La solitude aussi pour que j'aime les gens
Pour que j'aime le silence qu'on me fasse des discours
Mmh
Et toucher la misère pour respecter l'argent !
Pour que j'aime être sain, vaincre la maladie
mmh
Qu'on me donne la nuit pour que j'aime le jour
Qu'on me donne le jour pour que j'aime la nuit
pour que j'aim' la nuit
Pour que j'aime aujourd'hui oublier les "toujours" ! (2 voix ténors)
On m'a trop donné bien avant l'envie
J'ai oublié les rêves et les "merci"
Toutes ces choses qui avaient un prix
Qui font l'envie de vivre et le désir
Et le plaisir aussi / qu'on me donne l'envie !
L'envie d'avoir envie ! Qu'on rallume ma vie !
Pont musical Refrain
Pont Musical Qu'on me donne l'envie !
L'envie d'avoir envie ! Qu'on rallume ma vie !
Final musical
3. Les gens qu'on aime (Goldman/Macé/Leroy/Lagarde)
J'aurais pu traîner le long de mes rêves
Damdamdam....
J'aurais pu l'air de rien attendre ici que la journée s'achève
Sortir le chien, si j'en avais un
J'aurais pu m'inventer des inventaires
Damdamdam....
Refaire et faire le point mais ce matin j'ai bien plus cher à faire
Damdabadadam....
Ce matin, j'irai dire aux gens que j'aime
Oh juste merci d'être ceux qu'ils sont
Qu'ils changent mes heures amères en poèmes
Et tous ces mots que nous taisons
Ce matin, j'irai dire aux gens que j'aime
Oh comme ils comptent pour moi chaque instant
Des mots doux c'est mieux qu'un beau requiem
Et les dire c'est important et dire avant tant qu'il est temps
On veut toujours attendre la prochaine / remettre au lendemain
Damdamdam.....
C'est bien plus simpl' / d'émettre des haines
Bien anonymes / tapis dans son coin
Et coulent nos vies et l'eau des fontaines l'avide quotidien
Et passent les jours et puis les semaines
Damdabadada
Ce matin, j'irai dire aux gens que j'aime
Oh juste merci d'être ceux qu'ils sont
Qu'ils changent mes heures amères en poèmes
Et tous les mots que nous cachons
Ce matin, j'irai dire aux gens que j'aime
Oh comme ils comptent pour moi chaque instant
Des mots doux c'est mieux qu'un grand chrysanthème
Et le dire c'est important le rappeler de temps en temps
J'aurais pu traîner le long de mes rêves
Damdamdam....
J'aurais pu l'air de rien attendre ici que la journée s'achève
Damdabadada
On devrait dire aux gens quand on les aime
Trouver les phrases, trouver le temps
Qu'ils changent nos heures amères en poèmes
On devrait tout se dire avant
Il faut le dire aux gens quand on les aime Comme ils comptent pour nous chaque in/stant Les mots doux c'est mieux qu'un beau requiem Et tant qu'on est là / bien vivant
Tout se dire tant qu'il est temps
4. Puisque tu pars (Goldman/Oudot)
Intro x 7
Puisque l'ombre gagne puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre à défaut de le comprendre
Mmh...
À rêver nos désirs et vivre des "ainsi soit-il"
Et puisque tu penses comme une intime évidence
Rêver nos désirs rêver de comprendre
Et l'ombre gagne bien au-delà du vent
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Rêver de donner rêver d'amour
Au-delà des montagnes au-delà de tant d'amour
Puisque c'est ailleurs qu'ira mieux battre ton cœur
Et c'est ailleurs c'est ailleurs ton cœur Mmh...
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir / puisque tu pars
Ouh....
Pont musical
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
Que la vie t'apprenne mais que tu restes le / même
Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait per/du
Garde cette chance que nous t'envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes comme octobre l'est d'avril
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte // indélébile
Sans drame, sans larme pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison aujourd'hui c'est / l'horizon
Mmh...
Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir // mais pas trop tard
Instruments
Dans ton histoire /garde en mémoire /notre au revoir /puisque tu pars (bis)
J'aurais pu fermer oublier toutes ces portes
Dans ton histoire garde en mémoire
Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
Notre au revoir puisque tu pars
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
Pas assez (4)
En écho : Dans ton histoire Garde en mémoire (2)
Notre aurevoir puisque tu pars...
6. S'il suffisait d'aimer (Goldman/Oudot)
Je rêve son visage, je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire / si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées ? Mais comment font ces autres à qui tout réussit ?
Mmh...
Qu'on me dise mes fautes, mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer (Mmh quand S chantent) Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
Je fe rais une éternité
J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est / sous le vent Les portes laissent entrer les cris même en fermant Dans un jardin l'enfant sur un balcon des fleurs
Mmh...
Ma vie paisible ou j'entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent présages des malheurs Quelles armes répondent aux pays de nos peurs ?
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer (Mmh quand S chantent) Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
Je fe rais une éternité
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer (Mmh quand S chantent) Si l'on pouvait changer les choses, et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
, s'il suffisait d'aimer
Nous fe rions / s'il suffisait d'aimer
7. Veiller tard (Goldman / Lagarde)
Mmh
Les lueurs / immobiles d'un jour qui / s'achève
La plainte douloureuse d'un chien qui
aboie
Le silence inquiétant qui précède les
rêves
Le si len (ce)
Quand le monde disparu l'on est face
à soi
Face à soi
Les frissons où l'amour et
l'automne s'emmêlent
Le noir où s'engloutissent
notre foi, nos lois
Cette inquiétude sourde qui
coule en nos veines
Qui nous saisit même après les
plus grandes joies mmh
Ces visages
oubliés qui reviennent à la charge
Ces étreintes qu'en rêve on peut vivre cent fois
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Mmh
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont
vaines
Ces choses
au fond de nous qui nous font veiller tard
Mmh Ces
paroles enfermées que l'on
n'a pas su dire
Mmh Ces regards
insistants que l'on n'a pas compris
Ces appels
évidents, ces lueurs / tardives
Ces morsures aux regrets qui se
livrent à la nuit
Ces
solitudes dignes au milieu des silences
Ces larmes si paisibles qui coulent / inexpliquées
Ces ambitions passées mais auxquelles on repense
Comme un vieux coffre plein de vieux jouets / cassés mmh
Ces liens
que l'on sécrète et qui joignent les êtres
Ces désirs / évadés qui nous feront aimer... ralentir
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Mmh
Ces
raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
- Medley Goldman
Intro x 2
Je marche seul
Comme
un bateau dérive / sans but et sans mobile
Je marche dans la ville / tout seul et anonyme
Où la ville et ses pièges ce sont mes privilèges
Je suis riche de ça mais ça ne s'achète pas
J'm'en fous, j'm'en fous de
tout
De ces chaînes qui pendent à mon cou
J'm'enfuis, j'oublie je m'offre une parenthèse, un sursis
Je marche seul / dans les rues qui se donnent
Et la nuit me pardonne, je marche seul / en oubliant les heures,
Je marche seul / sans témoin, sans personne
Que mes pas qui résonnent, je marche seul / acteur et voyeur mmh
Quand la musique est bonne
J'ai
trop saigné
sur les Gibson saigné
J'ai trop rodé
dans les Tobacco road rodé
Il n 'y a plus que les
caisses qui me
résonnent
Et quand je me casse je voyage toujours
en fraude
Les champs de
coton dans ma
mémoire
Trois notes de
blues c 'est un peu d'amour noir
Quand je suis trop court quand je suis trop
tard
C 'est un recours pour
une autre histoire. Quand la musique est bonne bonne bonne bonne
Quand la musique donne
donne donne donne
Quand la musique sonne sonne sonne sonne
Quand elle ne triche pas (bis)
Quand la musique est bonne bonne bonne
bonne
Quand la musique donne
donne donne donne
Quand la musique sonne
sonne sonne sonne
Quand elle guide mes pas (bis)
Sonne sonne sonne (7)
J'irai au bout de mes rêves
Et
même si le temps presse / même s'il est un peu court
Si les années qu'on me laisse / ne sont
que minutes et jours
Et même et même si l'on
même si l'on m'arrête
Et même ou s'il faut briser s'il faut briser des
murs
En soufflant dans des trompettes / ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves / tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves / où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
J'irai au bout de mes rêves/ tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève / tout au bout de mes rêves
Envole-moi,
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi, envole-moi
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots / Envole-moi,
Envole-moi, envole-moi, envole-moi, envole-moi, envole-moi
Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas
Me
laisse pas là, me laisse pas là, emmène-moi emmène-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça / Envole-moi
La vie par procuration
Elle met du vieux pain /sur son balcon / pour attirer les moineaux, les
pigeons
Elle vit sa vie par procuration / devant son poste de télévision
Elle apprend dans la presse à scandale / la vie des autres qui s'étale
Mais finalement de moins pire en banal / elle finira par trouver ça normal
Elle met du vieux pain sur son balcon / pour attirer les moineaux, les pigeons
Elle apprend dans la presse à scandale / la vie des autres qui s'étale
Mais finalement de moins pire en banal / elle finira par trouver ça normal Woh
oh
Elle met du vieux pain sur son balcon / pour attirer les moineaux, les pigeons
Encore un matin
Intro
x 3
Encore un matin, un matin pour rien / une argile au creux de mes mains
Encore un matin sans raison ni fin si rien ne trace son
chemin
Encore un matin il trace un chemin.
Matin
pour donner ou bien matin pour prendre / pour oublier ou pour apprendre,
Matin pour aimer, maudire ou mépriser / laisser tomber ou résister.Un matin Ouh Un matin, ça ne sert ça
ne sert à rien à rien.
Un matin un
matin sans un coup sans un coup de main,
Ce matin ce
matin, c'est le mien c'est le mien, le tien, le
tien
Un matin
un matin de rien
de rien,
Pour en faire pour en faire,
Un rêve plus loin plus loin plus loin ...
Encore un matin
9. Confidentiel (Goldman/Lagarde)
J'voulais simplement te dire
Que ton visage / et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai
Tout c'qu'on s'est dit, tout c'qu'on a fait
Qu'c'était pas pour de faux, que c'était bien
Mmh Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces / mêmes matins
Mmh J'vais pas te dire qu' faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s'en priver
Et tout ce qu'on n'a pas loupé / le valait bien
Peut-être on se retrouvera
Peut-être que / peut être pas
Mais sache qu'ici-bas, je suis là
Mmh Ça restera comme une lumière
Mmh Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui (n')s'éteint pas
Mmh Mmh Mmh ...
Ba ba ba ba ba ba ba ba ba
Mmh...
Mmh Ça restera comme une lumière
Mmh Qui m' tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui (n')s'éteint pas
10. Long in the road (Goldman / Lagarde)
Dam dam dadudam dadudam dam
Dam dam dadudam dam dam dadudam dam dam dadudam dadudam dam dam
2 = Dam dam dadudam dam dam dadudam dam dam dadudam dadudam dam
4 = Dam dam dadudam dam dam dadudam dam dam dadudam dadudam dam
3 = Dam dam dadudam dam dam dadudam dam dam dadudam dadudam dam
Fin = Dam dam dadudam dam dam dam
3 = Américain a a
2 = Américain
Dam dam dadudam dadudam dam dam
3 = Dam dam dadudam dam dam dadudam dam dam dadudam dadudam dam
Dam dam dadudam dam dam dam
3 = Américain a a
2 Américain
6 = Oh my lord
au dernier Ah
3 = Américain a a 1 Américain 4 fois....
Au-delà de nos vents, passée notre frontière
Dans ces pays soleil de sable et de pierre
Là où malgré les croix et malgré les prières
Les dieux ont oublié ces maudites terres
Dans sa pauvre valise, ses maigres affaires
Une histoire banale d'homme et de misère
Il tient dans sa chemise ses ultimes richesses
Ses deux bras courageux, sa rude jeunesse
Et tout contre sa peau, comme un trésor inca
Son nom sur un visa pour les U.S.A.
But long is the road américain Hard is the way américain
Heavy my load américain But deep is my
faith américain
Long is the road américain
Sur des highway sixty one, l'ombre d'un Zimmerman
Dix trains de losers pour un Rockfeller
Brûler sa peau pour être un Battling Joe
Quand chaque espoir se décline en dollars
Jusqu'aux bannières où les stars s'affichent
Sous les lumières, tout est blanc, propre et riche
Du Jeudi noir jusqu'aux bleus de John Ford
Dans chaque histoire se cache un chercheur d'or
But long is the road américain Hard is the way américain
Heavy my load américain But deep is my faith
américain
Long is the road américain
Got my shoes oh, my Lord Got my hold oh, my Lord
Nothing to lose oh, my Lord Oh, my Lord oh,
my Lord
Got my faith oh, my Lord Got my Lord oh,
my Lord
And I'm pray
Américain américain américain américain
But long is the road américain
Hard is the way américain
Heavy my load américain BIS
But deep is my faith américain
Américain américain américain américain
But long is the road
11. Il changeait la vie (Goldman / Lagarde)
Mmh Il changeait il changeait la vie
Mmh il changeait il changeait il changeait la vie
Mmh Il changeait mmh
C'était un cordonnier, sans rien d'particulier
La vie chan geait...
Dans un village dont le nom m'a échappé
Il faisait des souliers si jolis, si légers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes / à porter
Il y mettait du temps, du talent et
du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
À sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
(mmh il changeait il
changeait la vie = bis)
C'était un professeur, un simple professeur
Il changeait la vie
Qui
pensait que savoir était un grand trésor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Il changeait la vie
Que l'école et le droit qu'à chacun de s'instruire
Il y mettait du temps, du talent et
du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
À sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie (mmh il changeait il changeait
la vie = ter)
Mmh il changeait mmh
C'était un p'tit bonhomme, rien
qu'un tout p'tit bonhomme
Malhabile et rêveur, un peu loupé en somme
Se croyait inutile, banni des autres hommes //
Il pleurait sur son saxophone //
Il y mit tant de temps, de larmes et
de douleur
Les rêves de sa vie, les prisons de son cœur
Et loin des beaux discours, des grandes théories
Inspiré jour après jour de son souffle et de ses cris
Ah.........................
Il changeait la vie
Pont musical x 2
Mmh, il changeait il changeait la
vie (bis)
Pont musical Il changeait la vie (bis) dernier arrêt net
12. Il me dit que je suis belle (Brewski/Oudot)
Et quand le temps se lasse de n'être que tué
Plus une seconde ne passe dans les vies d'uniformités
Quand de peine en méfiance de larmes en plus jamais
Mmh.......................
Puis de dépit en défiance on apprend à se résigner
Viennent les heures sombres où tout peut enfin s'allumer
Où quand les vies ne sont plus qu'ombres restent nos rêves à inventer
Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi
Aah...
Il me dit que je suis celle juste faite pour ses bras
Il parle comme on caresse de mots qui n'existent pas...
De toujours et de tendresse et je n'entends que sa voix
Éviter les regards, prendre cet air absent Celui qu'ont les gens sur les boulevards Cet air qui les rend transparents
Apprendre à tourner les yeux devant les gens qui s'aiment
Ouh...
Éviter tous ceux qui marchent à deux
Ceux qui s'embrassent à perdre haleine
Y a-t-il un soir, un moment où l'on se dit c'est plus pour moi
Tous les mots doux, les coups de sang mais dans mes rêves, j'y ai droit
Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi
aah...
Il me dit que je suis celle juste faite pour ses bras
Des mensonges et des bêtises qu'un enfant ne croirait pas
Mais les nuits sont mes églises et dans mes rêves j'y crois
Il me dit que je suis belle je le vois courir vers moi
aah...
Ses mains me frôlent et m'entraînent c'est beau comme au cinéma
Plus de trahison, de peines mon scénario n'en veut pas
Il me dit que je suis reine et pauvre de moi, j'y crois
La la la... (refrain)
Et pauvre de moi j'y crois
13. Je te promets (Goldman/Oudot)
Je te promets le sel / au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au-dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Je te promets la clé des secrets de mon âme
Mmh...
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoir
J'y crois comm' à la terre, j'y crois comm' au soleil
J'y crois comm' un enfant, comm' on peut croire au ciel
J'y crois comm' à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore
Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches
Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Mmh...
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir
J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
Je promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore
Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écrits à la craie
On fait bien des grands feux en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir
Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
Pas toute la vie mais quelques heures ...
Mmh
Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au-dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces
Piano....
14. Né en 17 à Leidenstadt (Golman / Lagarde)
Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt
Mmh...
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand
Bercé d'humiliation, de haine et d'ignorance
Mmh ...
Nourri de rêves, de revanche
Aurais-je été de ces improbables consciences
Larmes au milieu d'un torrent
Si j'avais
grandi dans les docklands / de Belfast
Soldat d'une foi, d'une caste
Aurais-je eu la force envers et contre les miens
De trahir, tendre une main ?
Si j'étais née blanche et riche à Johannesburg
Si j'étais né Mmh
Entre le pouvoir et la peur mmh
Aurais-je entendu ces cris portés par le vent
Rien ne sera comme avant ?
On saura
jamais c'qu'on a vraiment dans nos ventres
Caché derrière nos apparences
L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau
Ou le pire ou le plus beau
Serions-nous
de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un troupeau ?
S'il fallait plus que des mots
Instrument
Et si
j'étais né en 17 à Leidenstadt
Sur les ruines d'un champ de bataille
Aurais-je
été meilleur ou pire que ces gens
Si j'avais été allemand ?
Et qu'on
nous épargne toi et moi si possible très longtemps
D'avoir à choisir un camp
15. Comme toi (Goldman/Lagarde)
Elle avait les yeux clairs et
la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de
la fin du jour
La photo n'est pas bonne / mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique, surtout Schumann / et
puis Mozart
Comme toi comme toi, comme toi, comme toi (bis)
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi
Comme toi, comme toi, comme toi comme toi
Elle allait à l'école au
village d'en bas
Elle apprenait les livres, elle apprenait les lois
Elle chantait les grenouilles et les princesses
qui dorment au bois
Elle aimait sa poupée, elle
aimait ses amis
Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie
Et ils se marieraient un jour / peut-être à
Varsovie
Comme toi comme toi, comme toi, comme toi (bis)
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi,
Comme toi, comme toi, comme toi comme toi
Oh oh.... Oh oh ...
Oh oh ...
Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans
Sa vie, c'était douceur, rêves et nuages blancs
Mais d'autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C'était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n'est pas née comme toi ici et maintenant
Comme toi comme toi, comme toi, comme toi
Comme toi comme toi, comme toi, comme toi
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dort en rêvant à quoi,
Comme toi, comme toi, comme toi, comme toi
Comme toi, comme toi, comme toi comme toi
18. J'irai où tu iras (Goldman/Benzi/Lagarde)
Chez moi les forêts se balancent et les toits grattent le
ciel
Les eaux des torrents sont violence et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New-York et les bateaux sur la Seine
Va
pour tes forêts tes loups tes gratte-ciel va pour tes torrents tes neiges
éternelles
J'habite où tes yeux brillent où ton sang coule où des bras me serrent
J'irai où tu iras woh mon pays sera toi
J'irai où tu iras ouh ouh
ouh ouh il sera toi
Woh J'irai où tu iras qu'importe
la place qu'importe l'endroit
Ouh ouh ouh ouh J'irai où tu iras qu'importe la place qu'importe l'endroit
Je veux des cocotiers des plages et des palmiers sous le vent
Ouh...
Le feu du soleil au visage et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les
dépliants wap woh
Va pour tes cocotiers tes rivages va pour tes lagons tout bleu balançant
Ouh
wap woh wap woh
J'habite où l'amour est un village là où l'on m'attend
Ouh wap woh
Refrain
Prends tes clics et tes clacs et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d'ici
L'escampette et la poudre et la fille de l'air
Montre-moi tes édens, montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d'ouest
Clap de mains
Prends
tes clics et tes clacs et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d'ici
L'escampette et la poudre et la fille de l'air
Montre-moi tes édens, montre-moi tes enfers
Chez moi les forêts se balancent et les toits grattent le ciel
Ouh wap woh....
Les eaux des torrents sont violence et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York et les bateaux sur la Seine wap woh
Qu'importe j'irai où bon te semble j'aime tes envies j'aime ta lumière
Ouh ouh wap woh ta lumière
Tous les paysages te ressemblent quand tu les éclaires
Ouh ouh ils s'éclairent
J'irai où tu iras woh mon pays sera toi (j'irai où tu iras seulement 1er)
J'irai où tu iras ouh ouh ouh ouh il sera toi 4 fois ce dernier refrain
Qu'importe la place qu'importe l'endroit
19. Medley Enfoirés (Bolland/Child/Poncia/Paul/Boissenot/Goldman/Lagarde)
1. Ici les Enfoirés
On nous avait dit c'est pour un soir
On est encore là vingt ans plus tard
Ici les Enfoirés woh oh oh rejoins notre ar / mée
Faut-il chanter contre les misères ou bien se taire / passer ne rien faire
Ici les Enfoirés woh oh oh rejoins notre ar / mée
2. Si l'on s'aimait si
Dû dû dû....
Ce soir / on voudrait bien / changer le monde
Changer le cours des chances /et des peines perdues
Ce soir / on voudrait bien pouvoir répondre
À qui souffre en silence / qu'on les a entendus
Si l'on s'aimait si l'on s'aimait mais faudrait plus tourner les yeux
Si l'on s'aidait si l'on s'aidait mais c'est pas ce qu'on fait de mieux
3. Encore un autre hiver
Encore un autre hiver / un hiver ordinaire
Des familles à la ramasse et des soupes à la grimace
Encore des mots sans cesse / des serments des promesses
Nos illusions qui s'envolent au vent des belles paroles
Il était un pays qu'on citait en exemple
Qui disait droits de l'homme égalité des chances
Un pays de bien vivre autant que d'espérance
Il était une fois mon beau pays de France
Et nous on chante encore / et de plus en plus fort (bis)
Et nous on chante encore encore (4)
4. La chanson des restos
Aujourd'hui on n'a plus le droit / ni d'avoir faim ni d'avoir froid
Dépassé le chacun pour soi / quand je pense à toi je pense à moi
Je te promets pas le grand soir / mais juste à manger et à boire
Un peu de pain et de chaleur / dans les restos les restos du cœur
Aujourd'hui on n'a plus le droit / ni d'avoir faim ni d'avoir froid ah ah..
5. Attention au départ
Attends ((5)
Attention au départ direction notr'histoire larguez les amarres 1 2 3 4 pour un soir
Attention notr' histoire 1 2 3 4 pour un soir BIS
Accordez les guitares les violons les regards suivez l'étendard 1 2 3 4 pour y croire
Les guitares les regards 1 2 3 4 pour y croire
6. Toute la vie
Des portes closes et des nuages sombres
C'est notre héritage notre horizon
Le futur et le passé nous encombrent
Avez-vous compris la question ? non
Vous avez tout l'amour et la lumière
On s'est battus on n'a rien volé
Nous n'avons que nos dégoûts nos colères
Mais vous avez / mais vous avez / oui vous avez
Toute la vie toute la vie c'est une chance inouïe
Toute la vie toute la vie c'est des mots ça veut rien dire
Toute la vie toute la vie tu sais le temps n'a pas de prix
Utopie utopie sans avenir
Toute la vie toute la vie c'est à ton tour et vas-y
À ton tour et vas-y (3)
7. Juste une p'tite chanson
C'est just' un' p'tit' chanson / une p'tite chanson d'amour
Mmh...
Pour tous ceux qui sont pour / qui y croient jusqu'au bout qui se battent malgré tout
C'est just' un' p'tit' chanson / une chanson pour un soir
Mmh ...
Une chanson plein d'espoir / pour tout repeindre en clair allumer les lumières
C'est just' un' p'tit' chanson / qui d'viendra belle et grande
Si on chante tous ensemble / si on unit nos voix
Si tu chantes avec moi la la la ...C'est just' un' p'tit' chan(son)
Aujourd'hui on n'a plus le droit ni d'avoir faim ni d'avoir froid
C'est just' un' p'tit' chanson la la la...
Dépassé le chacun pour soi / quand je pense à toi je pense à moi
Je te promets pas le grand soir / mais juste à manger et à boire
Un peu de pain et de chaleur / dans les restos les restos du cœur
Aujourd'hui on n'a plus le droit ni d'avoir faim ni d'avoir froid Ah ah...
(C'est) just' un' p'tit' chanson
20. Il suffira d'un signe (Goldman/Lagarde)
= JJG
Il suffira d'un signe / Un matin
Un matin tout tranquille / Et serein
Quelque chose d'infime / C'est certain
C'est écrit dans nos livres / En latin
Déchirées nos guenilles De vauriens
oh oh oh oh oh oh
Les fers à nos chevilles Loin, bien
loin
oh oh oh oh oh oh
Tu ris mais sois tranquille Un matin
oh oh oh oh oh oh... jusqu'à mains
J'aurai tout ce qui brille Dans mes
mains
Regarde ma
vie, tu la vois face à face
Dis-moi, ton avis, que veux-tu que j'y fasse ?
Nous n'avons plus que ça au bout de notre impasse
Ah ah la la la la la la la la
Il suffira
d'un signe / Un matin
Un matin tout tranquille / Et serein
Quelque chose d'infime / C'est certain
C'est écrit dans nos livres / En latin
Et tu verras que les filles
Mmh Et tu verras que les
filles
Oh oui tu verras bien
Oh Oui tu verras bien
Auront les yeux qui brillent Ce
matin
Auront les yeux qui brillent Ce matin
Plus de faim, de fatigue
Plus de faim, de fatigue
Des festins
Des festins
De miel et de vanille Et de vin
De miel et de vanille Et de vin
Regarde ma
vie, tu la vois face à face
Dis-moi, ton avis, que veux-tu que j'y fasse ?
Nous n'avons plus que ça au bout de notre impasse
Ah ah la la la la la la la la
= 4 fois
Il suffira d'un signe
23. Je te donne (Goldman/Lagarde)
Intro... en vert ceux qui ne chantent pas l'anglais
I can give you a voice, bred with rhythm and soul
Mmh...
The heart of a Welsh boy who's lost his
home
Put it in harmony, let the words ring
Carry your thoughts in the song we sing
Je te donne mes notes,
je te donne mes mots
Quand ta voix les emporte à ton propre tempo
Une épaule fragile et solide à la fois
Ce que j'imagine et ce que je crois...
Je te donne toutes mes différences
Tous ces défauts qui sont autant de chance
On s'ra jamais des standards, des gens bien comme il faut...
mm Je te donne ce que j'ai, ce que je vaux
I can give you the force of my ancestral pride
Mmh...
The will to go on when I'm hurt deep
inside
Whatever the feeling, whatever the way
It helps me go on from day to day
Je te donne nos doutes et
notre indicible espoir
Les questions que les routes ont laissé dans l'histoire
Nos filles sont brunes et l'on parle un peu fort
Et l'humour et l'amour sont nos trésors...
Je te donne toutes mes différences
Tous ces défauts qui sont autant de chance
On s'ra jamais des standards, des gens bien comme il faut...
mm Je te donne ce que j'ai, ce que je vaux
Instrumental
Je te donne, donne, donne / ce que je suis
I can give you my voice, bred with rhythm and soul
Mmh...Je te donne mes notes, je te donne
ma voix...
The songs that I love, and the stories I've told
Oh Ce que j'imagine et ce que je crois
I can make you feel good even when I'm down
Les raisons qui me portent et ce stupide espoir
My force is the platform that you can climb on
Une épaule fragile et forte à la fois
(4 fois) Je te donne Ouh je te donne
Tout ce que je vaux, ce que je suis mes dons, mes défauts
Mes plus belles chances, mes différences
Je te donne